Examens médicaux, prescriptions : sont-ils vraiment utiles ?
Avez-vous conscience que plus de 50% des analyses et prescriptions médicales sont en fait inutiles, et que cet excès de traitement contribue à rendre les citoyens qui les subissent de plus en plus malades ?
La rentabilité d'abord
Si vous considérez les effets secondaires des médicaments, procédures diverses, et leurs interactions, leur cout en argent et en stress émotionnel, les effets sont manifestement à l’inverse de ce qui devrait se produire dans une situation idéale. Les séances de chimiothérapie indirectement imposées au malade terrifié d'avoir une maladie mortelle sont un autre exemple de ce qui est entrepris pour entretenir le marché très juteux du cancer, alors que 3 médecins sur 4 refusent la chimio pour eux même. La vérité c'est qu'aujourd’hui les hôpitaux doivent être d’abord rentables, c’est-à-dire, rentabiliser leur équipement, remplir les chambres… rares sont ceux qui vont tout faire pour vous éviter le bloc opératoire !
Cela existe pourtant… Intermountain Health Care en Utah en est un excellent exemple, même si cela est exceptionnel. Cet hôpital a réduit de 40 à 60% ses chiffres d’interventions chirurgicales en donnant simplement le choix à ses patients entre le bloc opératoire et une approche de surveillance de quelques semaine tant que leur état n’empire pas. Est-ce qu’un médecin vous a déjà fait ce genre de proposition ? Peu de praticiens prennent l’option de l’attente surveillée (c'est contraire aux lois de la rentabilité…) et pourtant :
Notre corps sait se guérir
Dans la majorité des situations, notre corps est capable de se guérir lorsqu’on l’aide avec des changements au niveau du style de vie : exercice, alimentation, gestion du stress, sommeil, élimination (c’est ce que je pratique avec les personnes dont je m’occupe et ça fonctionne très bien). De nombreux patients en fait choisissent l’approche la moins invasive si elle leur est proposée par leur praticien. Il est intéressant de noter que c’est quelque chose que les professionnels de la médecine utilisent d’eux même avec leurs proches. Mais il ne leur viendrait pas à l’esprit de proposer cela à leurs patients !
Tout comme les compléments alimentaires : une étude montre que tous les praticiens en prennent au quotidien mais n’en proposent jamais aux personnes qui les consultent. Non, il vaut mieux faire prendre des médicaments. Ça fait plus sérieux.
Quel médecin envoie systématiquement ses propres enfants faire des batteries de tests ?
On va dire que c’est le cordonnier le plus mal chaussé, mais en fait, c’est une mesure de protection, parce que le médecin, lui, sait qu’une batterie de test n’est là que pour satisfaire le client.
Le client, c’est vous quand vous allez le voir en lui soumettant un problème pour le quel il n’a pas de solution.Parce que la solution réside le plus souvent en un changement dans vos habitudes de vie, dans votre alimentation.Cela n’est pas son rayon.
Et vous, vous voulez la pilule magique de toute façon.
Les risques des procédures
Ne vous y fiez pas : les résultats d’un bon nombre de tests de diagnostic, de radios, analyses diverses produisent ce qu’on appelle des faux-positifs, c’est-à-dire, des résultats faussement positifs. Mais vraiment négatifs.
D’énormes sources d’erreurs médicales et de complications. Un des systèmes les plus utilisés sans réelle justification est le scanner. Ils sont prescrits à tour de bras même dans des cas où une simple échographie serait suffisante et plus parlante, ainsi qu’un simple examen physique. Alors pourquoi y a-t-on si souvent recourt ?
Simplement parce que les médecins pratiquent une médecine de la défense issue du besoin de certitude.
Aujourd’hui, surtout aux États-Unis où on vous poursuit en justice pour presque rien, on ne veut rien laisser au hasard. Donc on prescrit un scanner au moindre bobo. Mais il faut savoir qu’un seul scanner nous expose à l’équivalent de 200 à 500 radios des poumons. Si on considère qu’un dixième des milliers de morts par cancer chaque année est le produit d’une exposition excessive aux radiations médicales ionisantes, il y a de quoi s’inquiéter et réagir. Pour vous donner une idée, le montant des radiations d’un ou deux scanners augmentent les risques que vos enfants développent des cancers du cerveau plus tard dans la vie. Ce qui signifie qu’il vaut mieux garder l’accès au scanner lorsque les autres procédures utilisées n’ont pas donné de résultats probants.
C’est la même chose pour la mammographie
Si 4 femmes sur huit recevront un diagnostic de cancer suite à une mammographie, seulement 1 en aura vraiment un. Les autres seront des faux positifs. Pour l’avoir vécu, je sais combien ce genre de verdict peut être stressant, et pour certaines, fatal ! Des études ont montré combien la mammographie ne sauve pas tant que cela la vie des femmes et que cet examen routinier fait souvent du mal. Tout simplement parce qu’avant de savoir que le verdict de la mammographie était un faux positif, il a fallu faire d’autres examens bien plus invasifs, occasionnant des souffrances physiques et émotionnelles inutiles, voire même le développement d’un cancer par suite du stress que cela a entraîné.
Les césariennes : moins de risques pour les médecins, mais plus pour les mères et les enfants
Une naissance sur 3 est une césarienne. La césarienne est devenue l’intervention chirurgicale la plus commune. C’est presque une mode. C’est plus chic, moins animal que de devoir pousser. On les programme, cela arrange tout le monde. C’est plus rapide, plus dans le contrôle, ce qui arrange le médecin.
Par contre, une étude publiée dans le British medical journal a montré qu’une femme a 3 à 5 fois plus de chance de mourir des suites d’une césarienne que d’un accouchement naturel. Simplement parce qu’en dépit de sa généralisation, la césarienne reste une opération chirurgicale majeure accompagnée de son lot de risques en terme d’infections, de caillots sanguins et de problèmes liés à l’anesthésie. En moyenne, dans les pays industrialisés comme la France et les États-Unis, le taux de césarienne atteint les plus de 30% alors que d’après l’OMS, aucun pays ne devrait avoir un taux de plus de 10 à 15%.
Pour revenir à cet hôpital modèle dans l’Utah, qui pratique l’attente surveillée, ils ont aussi réduit de 20% leur taux de césarienne en s’occupant plus attentivement de leurs patients et en réduisant aussi massivement leurs taux d’accouchements provoqués, ce qui a permis en même temps de faire 50 millions de dollars d’économie en coûts médicaux.
Allonger la vie ou prolonger la mort ?
Les soins de fin de vie méritent aussi qu’on s’y arrête. Les unités de soins intensifs ont été à l’origine créées pour aider les personnes dans un état critique à guérir. Mais de plus en plus de lits sont aujourd’hui occupés par des personnes que l’on maintient en vie alors qu’elles n’ont aucune chance de s’en sortir. Bien sur, si on vous proposait une solution qui n’avait qu’une chance sur 1000 de réussir pour sauver la vie d’une personne que vous aimez, vous accepteriez. Mais il faut se souvenir que cela peut aussi se solder par un mourant, branché à un tas de tubes indéfiniment, à qui l’on fait subir des thérapies pénibles alors que toute forme d’espoir a disparu !
Même si on peut artificiellement maintenir quelqu’un en vie, il y a vie et vie. Il y a “longévité” et qualité de vie. Une étude parue dans le New England Journal of Medicine a trouvé que les personnes atteintes de cancer et qui ont reçu plus de soins palliatifs et moins de traitements oncologiques ont vécu plus longtemps en montrant des améliorations notoires de leur qualité de vie et de leur humeur. Une autre étude a montré que moins on dépense d’argent dans le dernier mois de vie, meilleure sera l’expérience de fin de vie et de mort.
En fait, cela se résume par : moins on va médicaliser ces derniers moments, plus on va limiter les interventions de survie, plus on va utiliser de soins palliatifs qui privilégient le naturel, l’humain, le sensitif et meilleure sera la fin de vie.
Conclusion : en règle générale, éviter le plus possible toute forme d’hospitalisation et de soins médicaux peut vous sauver la vie.
Une des raisons qui fait que je suis si énergique et passionnée par le fait de partager avec vous ce que je sais en terme d’outils de prévention et de soins qui font intervenir l’utilisation des huiles essentielles, la détoxification du corps et la gestion des émotions est que c’est ce qui va vous aider à ne pas mettre les pieds à l’hôpital. Et si vous ne pouvez pas vous y soustraire, au moins tous ces outils vont vous permettre de limiter au maximum le besoin de substances toxiques et surtout, de vous protéger au mieux de tout ce qui vous y menace en terme d’infections et de procédures invasives.
Le plus important est d’avoir le choix
Donc de bénéficier d’un minimum d’éducation, d’un matériel qui ne vous laisse pas dans le noir mais qui vous permet de peser le pour et le contre, d’intervenir au maximum vous-même, de ne pas pratiquer ce que certains appellent l’auto-médication mais ce que j’appelle la prévention intelligente. Combien sont ceux qui me contactent en me disant : “Ah, si j’avais su ! Je n’aurais pas pris tel produit, je ne les aurais pas laissés me découper… ”
Selon un rapport paru dans le “Journal of general internal medicine “en 2010, les erreurs mortelles se produisent surtout en juillet (10% de plus) dans les hôpitaux qui font intervenir les internes, ainsi que les week-ends. Donc, un conseil, évitez l’été et les week-ends pour subir quoi que ce soit à l’hôpital. Le mieux est donc de pratiquer au quotidien ce qui va vous maintenir en forme, et cela ne se limite pas à “surveiller votre alimentation”, ce qui ne veut strictement rien dire. Pratiquez ce qui va considérablement réduire vos chances de fréquenter une institution médicale, et même le bureau d’un médecin généraliste. Si on vous fait des analyses, on va forcément vous trouver quelque chose.
La vraie victoire n’est pas d’avoir zéro fautes aux analyses : c’est de ne jamais éprouver le besoin de consulter un médecin.
C’est donc de suffisamment maitriser quelques outils naturels et des règles de nutrition pour expérimenter la force de guérison qui est en vous et vous rendre compte que contrairement à ce que toute une industrie tente de vous faire croire : vous n’avez besoin de personne pour prendre soin de vous.
Je vous y apprends non seulement à maitriser l’usage holistique des huiles essentielles, mais aussi à vous protéger efficacement si vous avez malgré tout la nécessité de faire un tour dans un hôpital ! Prenez votre pouvoir, votre santé, votre vie en main !
Ne laissez pas quelqu’un décider pour vous : vous comprendrez vite combien vous n’avez besoin de personne !