Prenez une pilule pour vous calmer, madame !
Cela n’est pas la première fois que j’écris au sujet des dangers des médicaments psychiatriques. Ils ont été extrêmement vulgarisés dans les années 60 auprès des ménagères qui commençaient tout juste à prendre la pilule, fumer des cigarettes de cow-boy pour de pas grossir et profiter de la machine à laver et des couches jetables. Il ne leur manquait plus qu’une pilule du bonheur…
Les médecins ont pris l’habitude de ne pas être capables de comprendre les femmes, ces êtres qui s’obstinent à vivre des choses mystérieuses, à souffrir d’hystérie, de douleurs qui viennent de nulle part et dont le cerveau fabrique toute sorte de déséquilibres à la vitesse de la lumière.
Au point que, même aujourd’hui, toutes choses étant égales - symptômes et tests inclus - une femme est deux fois plus susceptible que son homologue masculin de sortir de chez le médecin avec un diagnostic de dépression. Elle risque surtout plus qu'un homme de se faire prescrire un médicament et, si ce médicament est un analgésique, il lui sera prescrit à une dose plus élevée et pendant une durée plus longue que le patient masculin, (selon l'Office américain de la santé des femmes).
Donc, on drogue les femmes plus facilement. Pourquoi ?
Moi, je sais pourquoi. Les femmes, c’est bien trop compliqué.
On les neutralise un bon coup, souvent pour des dizaines et des dizaines d’années, avec des médicaments psychiatriques, même si au départ, tout ce qu’elles avaient pouvait être réglé très simplement et sainement, à condition de se pencher un peu sur leur problème.
Ce qu’on ne vous dit pas, mesdames, c’est que ces « produits » (je n’ose pas les appeler médicaments), dont beaucoup reposent sur la théorie finalement démentie que la dépression nait d'un manque de sérotonine, envoient près de 90 000 personnes aux urgences chaque année à cause de leurs effets indésirables.
Et puis, disons le tout net, ce chiffre est sous-estimé, car il exclut les visites au service des urgences liées à la toxicomanie, aux comportements autodestructeurs ou aux tentatives de suicide.
Oui… les tentatives de suicide… On est toujours surpris quand ça se produit, non ? Moi mon réflexe lorsque j’en apprends un, (souvent une jeune fille), c’est : tiens, encore une qui prenait la pilule et à qui on a donné aussi des anti-dépresseurs.
Et oui… rien n’est plus classique ! La pilule… c’est la voie royale vers la déprime et l’anxiété ! Je m’en souviens… et nombreuses sont celles qui s’en souviennent. Rien de marrant ces années d’errance émotionnelle… Surtout que personne ne vous prévient ! On ne nous prévient jamais. Que ce soit au sujet de la pilule qu’au sujet des anxiolytiques ou des anti-dépresseurs. Il faut dire que si on vous expliquait combien les médicaments psychotropes faussent l'affect émotionnel. Ils ne se contentent pas de vous anesthésier… Ils émoussent les émotions, vous rendent apathiques, vous démotivent comme si on vous avait fait subir une lobotomie du lobe frontal, en vous laissant cependant avec un état d'esprit susceptible de prédisposer qui que ce soit à un comportement homicide. Et puis, il faut oser le dire : près d'une personne sur dix admises dans des unités psychiatriques d'hôpitaux l’ont été pour répondre à une psychose induite par la prise d'antidépresseurs. Vous en sortez cassée... à vie.
Et puis, on ne vous explique pas non plus que le traitement par antidépresseur puisse exacerber la gravité et la nature chronique de la dépression
Par exemple, une étude rétrospective portant sur près de 12 000 patients aux Pays-Bas a révélé que 72 à 79% des personnes traitées par antidépresseurs au cours de leur premier épisode dépressif avaient eu des rechutes. Mais ce qui montre vraiment que quelque chose ne fonctionne pas bien est qu'en dépit des taux record d’utilisation d’antidépresseurs, la prévalence de la dépression continue de monter en flèche. Ça alors!!!!!
Et avec la dépression, tous les problèmes collatéraux de mauvaise alimentation, mauvaise digestion, sur développement de la candidose et autres sources de dysbiose, ce qui évidemment fait partie des principales sources de dépression. Si vous ne l’étiez pas vraiment au départ, faites-moi confiance, la prise de « médicaments » psychiatrique se chargera de faire de vous une vraie dépressive.
En effet, en dépit de ce croit la grande majorité d’entre nous, certains chercheurs se penchent volontairement sur le sujet, et grâce à eux, des études scientifiques à long terme démontrent que les antidépresseurs aggravent l'évolution de la maladie mentale, sans parler des risques de dommages au foie, de saignements, de gain de poids, de dysfonctions sexuelles et de troubles cognitifs. On ne vous le dit pas, bien sûr… il faut que ça reste un secret…
D’autant qu’un autre secret est que, tout comme pour les opiacés et l’alcool, le sevrage de ce type de produit est un cauchemar. Et ça, à défaut de l’avoir expérimenté moi-même, j’en suis régulièrement le témoin…
Encore une fois, nous les femmes sont les premières touchées parce qu’en fait, les médecins font avec ce qu’ils peuvent. Si on considère leurs outils (ont-ils autre chose à offrir que des médicaments ?), qu’ont-ils à disposition ? Qu’ont-ils comme temps à consacrer à leurs patientes, comme disponibilité émotionnelle pour les comprendre et les référer à quelqu’un de plus compétent ?
Tout serait plus simple s’ils avaient tous l’éthique de s’assurer que leurs patients aient les moyens de formuler un consentement éclairé sur les conséquences désastreuses de la consommation de psychotropes. Rien que ça. On ne leur demande même pas d’identifier les personnes à risque, de mobiliser un soutien et de proposer des solutions de remplacement, le cas échéant. Non, juste de prévenir… Comme cela se passe dans une pharmacie en Allemagne par exemple ! Là-bas, si vous présentez une ordonnance d’antidépresseurs, il y a des chances pour qu’on vous parle d’une alternative naturelle… sans effets secondaires !
Les alternatives… parlons-en. Pour moi, il y a bien plus. Il y a de véritables traitements. : vous mettre au régime, changer de style de vie, méditer 11 mn par jour, faire des lavements du colon, prendre des compléments alimentaires, bref, vous désintoxiquer de ce qui a déclenché au départ tous vos troubles (oui, la toxicité, encore la toxicité), inclus les médicaments qu’on vous a faits prendre et qui ont tranquillement entretenu votre toxicité, vos manques nutritionnels et qui ont tout simplement entretenu votre malaise général.
Ceci dit, votre détresse peut aussi bien venir d’une infection intime non identifiée…c’est bien pour cela que le simple fait de travailler sur vos infections de femmes dans Santé Intime suffit à transformer l’état émotionnel de mes élèves!
Vous pouvez vous en rendre compte par vous même expérimentant ce que je vous explique ici.