Votre enfant est asthmatique ? Aidez le vraiment avec l'aromathérapie holistique
Si vous, ou votre enfant, souffrez d'asthme, vous savez sans doute déjà tout sur le sujet, à part peut être ce que de plus en plus de médecins américains commencent à comprendre et qui permet de ne plus catégoriser l'asthme dans les maladies incurables.
Il y a cependant des faits qui ne changent pas: qu'est-ce que l'asthme ?
On divise l’asthme en deux catégories : l’extrinsèque et l’intrinsèque
L’extrinsèque est en fait une réaction allergique qui fait intervenir la production d’immunoglobuline IgE, productrice d’histamine, et l’intrinsèque, associé à une réaction des bronche à divers produits chimiques, l’air froid, l’exercice, les infections et les émotions.
Ensuite, sa gravité est classée en fonction de la fréquence des crises, la force des symptômes etc…
En fait, l’asthme est provoqué par un certain nombre d’interactions entre des facteurs génétiques et environnementaux.
Le facteur le plus puissant étant une série d’allergies faisant intervenir l’eczéma et le rhume des foins. Dès qu’il y a apparition d’une dermatite comme l’eczéma, les risques de déclencher des crises d’asthme augmentent considérablement.
Tout est lié : le système immunitaire malmené créé les allergies, et les allergies créent l’asthme.
Mais il faut reconnaître que les allergies sont le déclencheur d’asthme le plus commun.
En effet, le système immunitaire, lorsqu’il est déséquilibré, prend à tort des substances inoffensives (gluten, lait, pollen) pour de vrais envahisseurs tels que microbes ou poisons. Il provoque alors une réaction inflammatoire sous forme d’afflux de sang, de chaleur, de mucus ou de liquide. Si cette inflammation a la bonne idée de se situer dans les voies respiratoires, en l’occurrence dans les bronchioles des poumons, elle provoque de l’asthme.
Le mucus bouche les tubes des bronches, mais participe aussi à provoquer leurs spasmes et à leurs contractions.
L'asthme, en chiffres
Sur les 20 millions de personnes atteintes d’asthme aux Etats-Unis, 9 millions d’enfants autour de 8 ans en sont atteints. En France, le ministère de la santé en compte 3 millions. D’après l’OMS ils seraient plutôt 4 millions dont un tiers de moins de 15 ans. En fait, 6 à 10% des enfants scolarisés sont asthmatiques.
D’après le Professeur Gérard Huchon de l’Hôtel-Dieu à Paris, 180 000 décès sont dû à cette affection chaque année. Pas n’importe où : même dans les nations les plus industrialisées (je dirais même « surtout » dans les nations les plus industrialisées), dont 2000 (600 adolescents) en France,
Les enfants qui prennent des antibiotiques avant l’âge de 4 ans ont 400 fois plus d’asthme que les autres.
Environ 40% des adultes asthmatiques on des enfants asthmatiques.
L'asthme : une épidémie en pleine expansion
Le plus important à retenir de ces chiffres, c’est qu’ils sont en constante augmentation.
En fait, ces chiffres suggèrent que cette épidémie d’asthme est liée à l’essor de l’industrialisation, et donc, de l’augmentation de la toxicité environnementale et alimentaire par les médicaments, divers
produits chimiques et autres additifs dont le corps n’a que faire.
De nombreux médecins ne réalisent pas que les toxines n’ont pas besoin d’être dans l’air pour contribuer à l’asthme : celles de l’eau et des aliments sont bien suffisantes ! Et si on y ajoute les métaux lourds (inclus ceux contenus dans les vaccins), on a des sources d’asthme indirectes mais puissantes.
En fait, les toxines (de ce qu’on mange, boit, respire, injecte, touche) augmentent l’inflammation de l’organisme, inclus celle des voies respiratoires. Elles déstabilisent l’immunité, ce qui est intimement lié au déclenchement des allergies et donc, de l’asthme.
A la toxicité galopante, se joignent la difficulté croissante de se détoxifier (à cause de l’appauvrissement nutritionnel et de la présence des métaux lourds), les prédispositions génétiques et les problèmes gastro-intestinaux, immunitaires et nerveux.
Le Dr Block le dit et le redit tout au long de son livre consacré aux nouvelles épidémies de l'enfance : le déséquilibre du système immunitaire est la racine ultime de ce qui provoque la majorité des cas d’asthme.
C’est pour cette raison que d’autres maladies chroniques ayant les mêmes causes sont elles aussi reliées à l’asthme :
Les enfants atteints de TDAH (troubles de l’attention) ou d’autisme ont typiquement aussi des allergies et de grandes chances de devenir asthmatiques,
Une mère asthmatique ou allergique durant sa grossesse double les risques que son enfant devienne autiste,
Selon une récente étude, les enfants asthmatiques ont beaucoup plus fréquemment que les autres des signes de TDAH (troubles de l'attention),
77% des asthmatiques ont du reflux gastrique, un symptôme commun de sensibilités et allergies alimentaires,
Les asthmatiques ont environ 300% plus de chances que les autres de devenir obèses quoi qu’ils fasses pour contrôler leur poids, simplement à cause de leur niveau d’inflammation impliqué dans les deux maladies,
90% des enfants qui ont de l’asthme ont aussi des allergies.
Mais si le système immunitaire joue un rôle indéniable dans l’apparition de l’asthme, le vaccin contre la coqueluche y est aussi pour quelque chose.
L'étude anglaise sur les enfants qui souffrent d'asthme
Les Anglais ont fait une étude sur 448 enfants et adolescents qui n’ont eu que du lait maternel durant les 6 premiers mois de leur vie.
Tous ces enfants ont été sevrés après un an d’âge et avaient au moins 4 ans lors de l’enquête.
On leur a demandé aux parents si leur enfant avait déjà déclaré des crises d’asthme.
Il y a eu 30 réponses positives, soit 6.72%.
Puis les chercheurs ont classés les réponses selon que les enfants avaient ou non été vaccinés contre la coqueluche.
Le vaccin contre la coqueluche : un facteur déclenchant
Sur les 243 enfants vaccinés, 26 étaient asthmatiques… et parmi ceux qui n’avaient pas été vaccinés, seulement 4 ont eu de l’asthme.
Ils ont aussi remarqué que sur les 91 enfants qui n’avaient reçu aucun vaccin, seulement 1 a eu de l’asthme, comparé aux 3 parmi les 112 qui ont été vaccinés.
Ces chiffres sont à ajouter à la longue liste qui figure dans les pages consacrées aux vaccins.
Les antibiotiques chez les bébés
En Colombie britannique, on a combiné 7 études qui ont concerné 12000 jeunes.
On a trouvé que ceux qui avaient eu un traitement antibiotique avant leur première année avaient plus de deux fois plus de risques de développer de l’asthme que les autres. Dans le cas de la prise de plusieurs traitements aux antibiotiques avant l’âge de 1 an, les risques augmentent de 16% après chaque traitement.
Une des explications provient du fait que les antibiotiques empêchent une exposition saine à certaines bactéries, ce qui créé une hypersensibilité du système immunitaire. Qui dit hypersensibilité immunitaire, dit allergies. Qui dit allergies, dit asthme…
Une autre explication est que les antibiotiques détruisent tout, même la flore intestinale toute neuve des bébés (ceux qui sont nés par césarienne étant encore plus fragiles de ce coté), réduisant au passage une bonne partie de leur immunité.
On a donné à 237 nourrissons à tendance allergique un placébo, ou une supplémentation probiotique. Et bien les chercheurs ont trouvé que les bébés qui avaient pris les probiotiques montraient des signes de réduction de l’inflammation avec une concentration anticorps IgA plus élevée.
Un grand nombre de ces anti-corps présent dans les selles chez les bébés avant 6 mois est associé à une inflammation intestinale minimale, réduisant de 50% les risques d’allergies IgE avant l’âge de deux ans.
L'aromathérapie holistique de l'asthme
Vous avez dû le comprendre, travailler sur l'asthme revient à neutraliser le terrain inflammatoire, les allergie, éviter les facteurs déclenchant et faciliter l'accès à l'air.
L'utilisation des huiles essentielles ne sera donc utile que si les intolérances et sensibilité alimentaires sont identifiées, les aliments déclenchant éliminés, un éventuel régime anti-candida entamé, des suppléments anti-inflammatoires pris tous les jours, une hygiène du colon entreprise et suivie régulièrement avec l'hydrothérapie et une attitude pro-immunitaire cohérente suivie.
Il s'agit de procéder à un grand rééquilibrage général.
Les huiles essentielles suggérées dans les chapitres mis en lumière seront celles qui serviront de traitement de fond, à alterner régulièrement en fonction des besoins.
Un inhalateur fait maison
Pour les asthmatiques, il est important d'être rassuré par un objet à tenir dans la main, un produit de secours qu'on peut porter aux narines si besoin.
Pour cela, il est très facile de commander un petit inhalateur à garnir d'huiles essentielles vous même.
C'est un petite cylindre spongieux qui va retenir les huiles essentielles dans le tube.
Voici la formule à mettre dans l'inhalateur afin de calmer et aider à respirer :
5 gouttes d' Huile essentielle encens,
10 gouttes d'Huile essentielle de citron,
5 gouttes d'Huile essentielle de cèdre.
Cette formule peut être respirée à volonté.
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