Les huiles essentielles et les conséquences cachées d’un traitement de racine
Cela n'est pas le genre de chose dont on vous parle lorsque vous avez la bouche ouverte en attendant le verdict du dentiste : traitement de racine !
Ah la la !!! Que de réjouissances en perspective ! On sait déjà que ça ne va pas être une partie de plaisir... mais personne ne vous parle du pire... c'est à dire des réelles conséquences de cette procédure sur toute votre vie via votre santé. Vous ne voyez-pas de quoi je veux parler ? En gros, il s'agit de maladies chroniques et parmi elles, de cancer.
Le Dr weston price a été l’un des premiers chercheurs à comprendre le lien qui existe entre les traitements de racines et diverses maladies. Plus précisément : les traitements de racine peuvent provoquer la destruction de la santé systémique et le développement de maladies chroniques. Ici, aux Etats Unis et peut être en Europe, de plus en plus de médecins pensent aujourd'hui que les traitements de racine sont des sites infectés qui favorisent le déclin de l’immunité et de la santé systémique en dépit de leur traitement.
Maintenant… la grande question : puisque l’on connait ce lien entre les traitements de racine et la maladie, quel en est le lien avec le cancer ?
Les traitements de racine sont le siège d’infections secondaires
Le nerf et la carie d’une dent endommagés sont retirés durant la procédure de dévitalisation. En théorie, une solution chimique est utilisée pour désinfecter la région traitée afin d’éliminer des bactéries récalcitrantes, susceptibles de provoquer d’autres infections. Mais toutes les bactéries peuvent elles être éradiquées ? Quand on voit combien les désinfectants chimiques sont souvent défaillants, on peut se poser la question. A-t-on vraiment traité la cause du problème? Apparemment pas. C'est sans doute la raison pour laquelle le traitement de racine semble seulement placer un pansement sur un problème qui peut mettre la vie en danger, et ne fait que remettre à plus tard le déclenchement de problèmes vraiment graves. Malheureusement, il y a cette fausse croyance qui veut que les agents infectieux que sont les microbes, levures et virus puissent être complètement éliminés des gencives. Alors qu’en fait, des myriades de petites choses microscopiques ne sont jamais exposés aux produits chimiques désinfectants utilisés durant le traitement. Selon les études sur le sujet, jusqu’à 50% de la population pathogène n’est pas éliminées par les désinfectants classiques.
Si on ajoute en plus l’erreur humaine, des complications secondaires ont bien des chances de se manifester. Alors, disons le tout net : le traitement de racine est un nid à bactéries anaérobies dangereuses et favorise la résistance aux antibiotiques. Les bactéries anaérobies se développent dans un environnement dépourvu d’oxygène. Or, c’est l’environnement qui est créé lorsque le dentiste ferme la dent traitée. Des toxines sont produites par ces bactéries et ces toxines vont atteindre diverses régions du corps.
Dans une étude, le Dr Stuart Nunnally a comptabilisé que sur 3 ans, les 87 patients qui avaient été surveillés après un traitement de racine ont tous subi une forme de déclin dans leur santé.
Le Dr Josef Issels, cancérologue mondialement reconnu, a sans doute fait partie des tous premiers à exiger que ses patients fasse extraire leurs dents dévitalisées. C’est une des étapes de son protocole anticancer.
Dans son livre « cancer, une seconde opinion », il expose comment, sur une période de 40 ans qui l’a amené à travailler avec 16000 patients, plus de 90% d’entre eux avaient entre 2 et 10 dents dévitalisées dans la bouche en arrivant à sa clinique. Il affirme (avec des preuves convaincantes) que des dents mortes laissées dans la bouche génèrent un montant impressionnant de toxines capables de provoquer le développement du cancer chez l’humain. Dans un monde où la pilule miracle est réclamée, les antibiotiques interviennent aussi dans la procédure du traitement de racine. Les bactéries visées sont isolées du canal radiculaire et séparées de la circulation ou du flux sanguin, ce qui permet à l’antibiotique de traiter la zone touchée. En conséquence, la population des bonnes bactéries est atteinte et les bactéries nocives ont simplement plus de latitude d’action pour résister aux médicaments.
Voici une petite sélection de bactéries responsables d’infections qui apparaissent à la suite des traitements de racine :
Enterococcus faecalis : Ces bactéries sont associées à des infections des voies urinaires et font partie des bactéries résistantes aux antibiotiques les plus connues.
Pseudomonas : Les symptômes associés à ces bactéries comprennent un système immunitaire affaibli, une pneumonie, des infections sanguines et peuvent éventuellement entraîner la mort.
Staphylocoques : Ces bactéries entraînent non seulement des infections cutanées, mais aussi une pneumonie, une intoxication par le sang et un syndrome de choc toxique.
Streptocoques : Connues comme "bactéries mangeuses de chair", les populations de ces bactéries sont associées à l'angine streptococcique, à la douleur, à la fièvre, au vertige, à l'enflure, à la confusion, à une tension artérielle anormale et au syndrome de choc toxique.
C'est prouvé : Les traitements de racine augmentent le risque de maladies dégénératives chroniques
Le Dr Weston Price fait une découverte intéressante dans les années 1900 lorsque ses recherches l'ont amené à implanter la dent infectée d'un humain dans un animal. Les mêmes complications de santé chroniques sont apparues chez l'animal peu de temps après l'implantation de la dent. Par conséquent, ce n'est pas seulement la population de bactéries qui provoque un dysfonctionnement systémique, mais bien la concentration de toxines produites par les bactéries. À la suite de la recherche du Dr Price nous comprenons maintenant comment ces traitements augmentent le risque de tous les types de réactions indésirables, y compris :
Maladie cardiovasculaire,
Douleur et souffrance associées à l'inflammation du corps,
Maladies qui touchent au cerveau,
Maladies du système nerveux,
Chute de l'immunité,
Diabète,
Cancer.
A quoi cela vous fait-il penser ? Moi cela me dit que tout est interconnecté. La Médecine Traditionnelle Chinoise nous apprend que c'est un méridien du colon défaillant qui favorise la carie dentaire. Donc, comme d'habitude, tout vient du ventre, siège de tant de proliférations toxiques trop souvent incontrôlées. Alors bien sûr, je pourrais vous parler de l'importance des pratiques classiques qui favorisent une bonne santé bucco-dentaire, comme se brosser les dents, ne pas manger de sucre, et utiliser un dentifrice sans fluor, mais l'aromathérapeute que je suis va vous suggérer d'autres réflexes à adopter, des pratiques qui existent depuis plus de 3 000 ans :
Rinçage à l’huile de coco : on garde une bonne cuil à soupe d’huile de coco dans la bouche, en la faisant circuler, 15 à 20 mn, puis on la crache. Cela pompe plein de bactéries…
Huiles essentielles : Les huiles essentielles sont incomparables efficaces pour éviter l'accumulation de bactéries pathogènes dans la cavité buccale. L’idéal est de les utiliser quotidiennement car ne provoquent aucune conséquence néfaste sur la santé lorsqu'elles sont utilisées correctement. On voit des résultats étonnants sur la santé bucco-dentaire en utilisant l'huile d'arbre à thé, le clou de girofle, la cannelle, la racine de curcuma et la menthe poivrée en simple rince bouche.
Le soin du ventre avec plus de probiotiques et de prébiotiques : Le but est d’augmenter la population de bonnes bactéries afin d'inhiber la croissance des bactéries cancérigènes. Dans les probiotiques : kombucha, choucroute et kéfir. Dans les prébiotiques, banane verte, fécule de pomme de terre, légumes verts. Ceci dit, si vous avez vraiment beaucoup de problèmes de dents, je vous renvoie sans hésiter vers le dossier spécial réparation du ventre, ici.
Thé vert : Avec le thé vert on ne peut pas se tromper. Le thé vert contient des micronutriments et des antioxydants qui aident à combattre l'inflammation partout dans le corps, inclus les maladie cardiovasculaire, l'obésité et le cancer.