Médicaments psychotropes : danger
Quelques faits au sujet de la consommation des psychotropes par les Français :
3 fois plus importante en France qu'en Angleterre ou qu'en Allemagne,
Durant l'année 1997, 12 % des Français âgés de plus de 15 ans ont consommé un ou plusieurs psychotropes dont 7,9 % un anxiolytique, 4,7 % un hypnotique, 3,6 % un antidépresseur et 1,5 % un neuroleptique. Cette proportion de consommateurs de psychotropes croît avec l'âge : après 50 ans pour les femmes et après 60 ans pour les hommes, plus d'une personne sur six a consommé un ou plusieurs psychotropes,
Trop de Français, en particulier après 60 ans, sont traités trop longtemps par des psychotropes : 11 % des Français sont des consommateurs réguliers de psychotropes (au moins une fois par semaine et depuis au moins six mois), 29 % des femmes entre 60 et 69 ans, plus de 34 % des femmes âgées de plus de 80 ans.
Il est temps que ça change, non ?
Voici une information indiscutable sur la dangerosité des médicaments avec lesquels l'industrie pharmaceutique fait sans doute le plus gros de son chiffre d'affaires et qui fabriquent des malades au lieu de les soulager. Je vous livre ici le plus gros d'un article américain dont je vous joins les références en bas de page et dont j'avais besoin pour valider l'utilité d'une approche non médicamenteuse des problèmes psychologiques sur laquelle je travaille en ce moment.
Il n’y a pas d’utilisation anodine et inoffensive de médicaments psychiatriques. Ils provoquent tous à plus ou moins long terme des effets secondaires ayant un impact inconnu et profond. Tous ces « médicaments » entrainent des effets secondaires graves, inclus l’accoutumance et les symptômes de manque qui l’accompagnent. Mais on a surtout découvert l’impact principal de ses drogues : une dysfonction du cerveau.
La plupart du temps les effets secondaires possibles sont minimisés voir éludés, mais rien ne peut changer le fait que ces drogues provoquent des symptômes qui peuvent entrainer la maladie mentale, ainsi que de développer des symptômes de maladie de Parkinson. La thorazine, un puissant tranquillisant, provoque un effet assez semblable à celui de la lobotomie en perturbant l’activité nerveuse du lobe frontal du cerveau.
Le danger
Les psychiatres omettent de signaler le danger potentiel d’utiliser ces drogues à leurs patients qui vont alors ignorer les risques de dyskinésie tardive (perturbation de la mobilité d’un organe, incoordination, spasmes...), démence tardive, insensibilité émotionnelle, amoindrissement général de la conscience, et dysfonctions cognitives. Le syndrome de déficit neuroleptique (NIDS) peut aussi être provoqué par des clés psychotropes qui changent notre conscience émotionnelle, la rapidité et clarté de nos pensées et fabriquent de véritables « zombies ».
Il n’est pas rare qu’on attribue l’apathie, l’indifférence émotionnelle, le ralentissement moteur et cognitif à l’état mental du patient alors qu’ils ne sont en fait que les effets des médicaments. On donne alors de plus hautes doses de médicaments… pour finalement provoquer des dommages permanents du cerveau. En effet, les effets secondaires se manifestent chez plus de 50% des patients, en fonction des médicaments et de leur dosage, mais lorsqu’ils apparaissent, c’est de façon permanente et sans qu’on sache comment les traiter.
La vérité bien cachée au sujet des médicaments psychiatriques, c’est qu’avec le temps ils accroissent les risques de rendre le patient chroniquement malade, ils provoquent tout un ensemble d’effets secondaires débilitants et peuvent entrainer une mort prématurée. C’est ce qui est reporté par l’Institut National de Maladies Neurologiques aux États-Unis : les médicaments psychotropes peuvent provoquer un syndrome neuroleptique malin qui est une maladie neurologique mortelle. Mais les effets secondaires peuvent aussi se limiter à une prise de poids, au diabètes, à la dyskinésie tardive, à la trémeur, à l’akathisie, la dyskinésie, la dystonie mais aussi aux nausées et à l’insomnie. Est-ce si anodin ?
Des effets positifs ?
De nombreuses études récentes ont prouvé que ces médicaments ne fournissent aucuns effets positifs à long terme même s’ils peuvent limiter les signes de psychoses à court terme. Au bout d’un an les patients rechutent et deviennent de plus en plus psychotiques.
Voici une liste de psychotropes modernes tous dangereux qui ne doivent absolument pas être utilisés par qui que ce soit, peu importe les circonstances :
Les neuroleptiques : Haldol, Prolixin, Thorazine, Mellaril, Stelazine, Vesprin, Clozaril, Navane, Trilafon, Tindal, Taractan et Compazine.
Les anti-dépresseurs tricycliques : Tofranil, Elavil, Adapin, Surmontil, Norpramin, Pamelor, Aventyl, Vivactil et Anafranil.
Les antidépresseurs atypiques comme Asendin, Ludiomil, Dsyrel et Wellbutrin.
Les inhibiteurs de monoamine oxidase : marplan, nardil, parnate, Eldepryl et Eutonyl
Prozac
Xanax
Valium, Librium, Buspar, Ativan, Halcion, Tranxene, Paxipam, Centrax, Dlonopin, Dalmane, Serax, Ativan, Restoril, Miltown, Equanil, Atarax, et Vistaril
Les psychostimulants : Ritaline (très addictive), Dexedrine et cylert
Si on vous les a prescrits, ne vous laissez pas faire, et si vous ne savez pas comment, écrivez-moi, je vous éclairerai. Vous trouverez plus de détails dans mes pages consacrées aux médicaments dangereux, ici.
Je vous explique comment l'aromathérapie peut vous être utile en cas de dépression ici.
Et vous, avez-vous une expérience à partager à ce sujet, quelque chose qui pourrait aider les lecteurs, les avertir, les aider à comprendre ?
Alors laissez votre commentaire dans la section prévue à cet effet en bas de la page, faites réagir !
Références :Gary Tollefson, et al., Blind, Controlled, Long-Term Study of the Comparative Incidence of Treatment-Emergent Tardive Dyskinesia With Olanzapine or Haloperidol, 154 AM. J. PSYCHIATRY 1248 (September 1997).Leonardo Cortese, et al., Assessing and Monitoring Antipsychotic-Induced Movement Disorders in Hospitalized Patients: A Cautionary Study, 49 CAN. J. PSYCHIATRY, 31, 34 (January 2004).Steven Kingsbury & Megan Lotito, Psychiatric Polypharmacy: The Good, the Bad, and the Ugly, 24 PSYCHIATRIC TIMES 32 (April 1, 2007)Jeffrey Lieberman et al., Effectiveness of Antipsychotic Drugs in Patients with Chronic Schizophrenia, 353 NEW ENG. J. MED. 1209 (Sept. 22, 2005).Archives of General Psychiatry in October 2006. Peter Jones, et al., Randomized Controlled Trial of the Effect on Quality of Life of Second- vs First-Generation Antipsychotic Drugs in Schizophrenia: Cost Utility of the Latest Antipsychotic Drugs in Schizophrenia Study (CUtLASS 1), 63 ARCH. GEN. PSYCHIATRY 1079 (Oct. 2006).Linmarie Sikich, et al., Double-Blind Comparison of First- and Second-Generation Antipsychotics in Early-Onset Schizophrenia and Schizo-affective Disorder: Findings From the Treatment of Early-Onset Schizophrenia Spectrum Disorders (TEOSS) Study, 165 AM. J. PSYCHIATRY 1369 (2008)Robert Findling, et al., Double-Blind Maintenance Safety and Effectiveness Findings From the Treatment of Early-Onset Schizophrenia Spectrum (TEOSS) Study, 49 J. OF THE AM. ACAD. OF CHILD & ADOLESCENT PSYCHIATRY 583 (June 2010). http://www.ninds.nih.gov/disorders/neuroleptic_syndrome/neuroleptic_syndrome.htm.