Surdiagnostic du cancer du sein : ce qu'on vous cache
Lorsqu’on vous parle « prévention du cancer sur sein », vous parle-t-on aussi des erreurs de diagnostic ?
Je veux parler du sur-diagnostic qui se produit lorsque la mammographie est mal interprétée... et vous allez comprendre pourquoi en lisant ces lignes.
Une étude inquiétante publiée dans Annals of Family Medicine, intitulée « Les conséquences psychosociales à long terme de la mammographie de dépistage par faux positifs », met en évidence un détail auquel personne ne pense et qui représente un préjudice complètement sous-estimé des programmes de dépistage du cancer du sein par mammographie : le traumatisme très réel et durable du faux positif du cancer du sein.
Qu’appelle-t-on « faux positif » ?
Je vais vous en parler d’autant mieux que je l’ai vécu. Vous savez, l’annonce du genre « madame, veuillez attendre ici, nous avons vu quelque chose à la radio, nous allons devoir aller plus loin pour en savoir plus ». Là, panique. La sueur froide. Ça y est, ils ont trouvé quelque chose… c’est la fin.
Mais c’est encore pire si on vous dit : il va falloir faire une biopsie. Mais si à l’issue de la biopsie on vous annonce un cancer qui n’est en fait pas un… et qu’on vous l’annonce plusieurs semaines plus tard… Qu’est-ce qui vous arrive ?
Et bien, l'étude en question a révélé que les femmes chez lesquelles on avait à ce point mal interprété la radio, avaient donc cru avoir un cancer, subissaient des conséquences psychosociales négatives importantes, même trois ans après avoir été déclarées exemptes de cancer.
Vous pouvez vous demander de quelles conséquences psychosociales il s’agit…
Les conséquences à long terme du sur-diagnostic, dans le détail :
Sentiment d'abattement
Anxiété
Impact négatif sur le comportement
Impact négatif sur le sommeil
Degré d'auto-examen des seins
Impact négatif sur la sexualité
Sentiment d'attractivité
Capacité à garder "l'esprit de choses"
Inquiétudes sur le cancer du sein
Calme intérieur
Réseau social
Valeurs existentielles
Ce qui est encore plus préoccupant, c'est que, je cite : "six mois après le diagnostic final, les femmes présentant des résultats faussement positifs ont signalé des modifications des valeurs existentielles et un calme intérieur similaire à ceux signalés par les femmes ayant reçu un diagnostic de cancer du sein".
En d’autres termes, même après avoir été « débarrassées du diagnostic cancer », les effets psychospirituels traumatisants étaient équivalents au cancer du sein. Vous allez me dire que tant que ce ne sont que des effets psychospirituels, on ne va pas se plaindre.
Et bien si ! Parce que toute la littérature et surtout les spécialistes intégratifs qui travaillent sur une prise en charge holistique du cancer confirment combien le cancer se développe d’abord suite à un trauma, physique ou émotionnel ;
Et apprendre à tort qu’on a un cancer, est un trauma suffisant pour en développer un, pour de bon. Quand on pense au nombre de femmes qui se font violence pour passer leur mammo en s’imaginant que c’est ce qui va les protéger du cancer (non, la mammo va vous dire si vous en avez un en route, au mieux), il s'agit d'un problème qui affectera la santé de millions de femmes subissant un dépistage systématique du cancer du sein. Elles s’exposent donc à la brutalité de la procédure, aux radiations sur les tissus mammaires, au stress qui accompagne l’anticipation et l’attente, et donc, en cas de faux diagnostique, à un véritable trauma, assorti de conséquences physiologiques complètement ignorées, sauf par quelques chercheurs.
Les conséquences physiologiques
Par exemple, l’année dernière, une étude a été publiée dans le New England Journal of Medicine et indique que, sur la base de données portant sur plus de 6 millions de Suédois âgés de 30 ans et plus, le risque de suicide était 16 fois plus élevé et le risque de décès d'origine cardiaque jusqu'à 26,9 fois plus élevé au cours de la première semaine suivant un diagnostic de cancer positif par rapport à un diagnostic de cancer négatif.
Il s'agissait de la première étude du genre à confirmer que le traumatisme lié au diagnostic pouvait entraîner une "blessure physique".
On ne prend pas suffisamment en considération à quel point le dépistage du cancer du sein fait, ironiquement, des millions de victimes. Alors, est-ce qu’il faut considérer ces victimes comme des « dommages collatéraux » à accepter ? Ou bien est-ce évitable ? Et si les dommages en question dépassaient les dangers que toute la procédure tente d’éviter ?
Quand les effets secondaires incitent à éviter la procédure
Selon une étude publiée en novembre dernier dans le New England Journal of Medicine, 1,3 million de femmes américaines ont été sur-diagnostiquées et sur-traitées au cours des 30 dernières années. Oui, on leur a dit qu’elles avaient un cancer… on les a traitées… et on s’est rendu compte qu’elles n’avaient en fait rien de dangereux (il existe des tumeurs qui ne sont pas cancéreuses).
Ce sont les «faux positifs » qui entraînent l'irradiation, l'intoxication par la chimiothérapie et la chirurgie inutiles d'environ 43 000 femmes chaque année.
Maintenant, si vous ajoutez à cette statistique lugubre les millions de «faux positifs » qui ont provoqué des traumatismes chez ces femmes, le dépistage du cancer du sein commence à ressembler à un véritable cauchemar de la iatrogénèse.
Et c’est sans tenir compte de l’impact toxique des rayons X, eux même pointés du doigt comme étant à l'origine d'une épidémie de cancers du sein chez des populations exposées.
Par exemple, en 2006, un article publié dans le British Journal of Radiobiology intitulé "Amélioration de l'efficacité biologique des rayons X à basse énergie et implications pour le programme de dépistage du cancer du sein au Royaume-Uni" a révélé que le dépistage est beaucoup plus cancérigène qu'on ne le pensait auparavant :
"Des études radiobiologiques récentes ont fourni des preuves irréfutables que les rayons X à basse énergie utilisées en mammographie sont environ quatre fois - mais peut-être jusqu'à six fois - plus capables de causer des dommages mutationnels que les rayons X à haute énergie.
Si on risque sa santé à pratiquer le dépistage du cancer du sein, est-ce vraiment la peine de prendre ce risque ?
L’aromathérapie holistique nous donne des moyens intéressants pour nous protéger contre le cancer, qu’il soit du sein ou autre. Tout simplement parce que toute forme de médecine vibrationnelle (au même titre que l’homéopathie et les fleurs de Bach) a une action épigénétique positive.
Nous sommes tous surexposés aux toxines, ce qui a un impact sur notre intégrité physique tout autant que sur la qualité de nos émotions.
La recherche a déterminé qu’uniquement les substances très diluées pouvaient produire des modifications épigénétiques dans l’ADN. Ce sont elles qui sont capables de pénétrer le noyau des cellules et de modifier les gènes par correction épigénétique. Et c’est ce que l’on recherche lorsque l’on veut éviter la croissance du cancer.
Alors, pensez-y. Rien ne remplace de faire circuler l’énergie dans les méridiens qui traversent les seins grâce au massage avec quelques huiles essentielles bien ciblées. Protégez-vous de la toxicité et des émotions toxiques !