Comment savoir si vous souffrez d'intolérances, de sensibilité ou d'allergies alimentaires ?
Il y a allergies alimentaires, sensibilités et intolérances alimentaires. Et il est important de les distinguer pour les identifier.
Malgré une alimentation et une vie équilibrées, certaines personnes ne parviennent pas à se sentir bien, peuvent souffrir de rhumes à répétition, d’infections intestinales et de douleurs chroniques, d’angoisse. En fait, une alimentation équilibrée aujourd'hui, vu la qualité de plus en plus douteuse des aliments auxquels nous avons accès, ne nous donne plus la qualité nutritionnelle nécessaire à notre équilibre interne. De plus, nous accumulons de plus en plus de toxines qui finissent par altérer notre immunité et notre capacité à les éliminer.
On peut devenir réactif à un ou plusieurs aliments consommés fréquemment, ou quotidiennement et dont on n’imagine pas pouvoir se passer facilement. Les allergies sont une épidémies en soit et les allergies alimentaires ont augmenté d'environ 400% au cours des 10 dernières années.
Cliquez ici pour savoir pourquoi nous devenons de plus en plus allergiques et intolérant. On met souvent dans le même pot :
les allergies à réaction instantanée que sont les allergies IgE (elles font intervenir les anticorps IgE),
les sensibilités IgG (qui font intervenir les anticorps IgG au lieu de IgE),
et les intolérances alimentaires qui ne font pas intervenir l'immunité.
Il faut cependant les distinguer pour mieux les identifier
Les allergies IgE
sont les réactions que la plupart des médecins savent reconnaitre. Ce sont principalement des réactions à des inhalants ou des aliments et sont les seules véritables allergies selon la définition classique commune. Elles impliquent une réaction souvent sévère, immédiate au contact avec l'allergène. On peut en souffrir toute la vie.
Les sensibilités IgG
ne sont techniquement pas des allergies au sens le plus courant et sont souvent ignorées par les allergologues. Et pourtant, les sensibilités IgG sont bien plus courantes que les allergies classiques IgE (mais ne mettent pas votre vie en danger...). Il peut se passer plusieurs heures, voire deux ou trois jours avant que le corps ne manifestent les symptômes de sensibilité, et il suffit d'éliminer l'aliment déclencheur pour que ne pas avoir de symptômes du tout. Mais surtout, on peut s'en débarrasser définitivement en suivant un protocole adéquat.
Les intolérances
Elles, ne sont que les réactions chimiques, d'habitude aux aliments, qui comme je l'ai dis plus haut, ne font pas intervenir une réaction immunitaire. C'est ce qui fait qu'elles ne sont pas considérées comme étant des allergies, et sont complétement ignorées par les allergologues, bien qu'elles soient la cause de symptômes sévères et que de nombreux malades consultent pour s'en débarrasser. Pour vous expliquer comment elles se déclenchent, prenons l'exemple de la tyramine, substance présente dans le vin et le fromage, qui provoque une dilatation des vaisseaux sanguins dans le cerveau, ce qui déclenche des migraines. C'est la même chose avec le lactose : ceux qui y réagissent n'y sont pas allergiques mais intolérants car il leur manque l'enzyme nécessaire à la digestion du lactose. Les distributeurs de lait se contentent donc d'ajouter du lactase (l'enzyme) dans leur lait, puis d'y apposer l'étiquette "sans lactose" pour faire boire leur lait aux "allergiques" présumés au lactose. Si c'est gens là se font tester pour des allergies, rien de se verra. Par contre, ils continueront de réagir fortement aux produits laitiers sans savoir pourquoi.
Il y a une vingtaine d'année, la plupart des allergologues étaient très septiques au sujet des conséquences désastreuses entrainées par les sensibilités et les intolérances, et ont fréquemment répété à leurs patients qu'ils étaient stressés et que puisqu'ils ne montraient aucun signe de pathologie, n'avaient rien, en dehors de leur imagination.
Je vous donne ici un exemple :
Marie a souffert d'eczéma toute sa vie. Elle est souvent fatiguée, endure des ballonnements fréquents ainsi que des fluctuations de poids. Son bien-être n'est pas reluisant. Elle contrôle son eczéma grâce à de la cortisone et boit des tonnes de boissons caféinées pour rester éveillée durant la journée. Finalement, Marie a fait un test d'allergies et intolérances alimentaires et a découvert qu'elle était fortement sensible aux produits laitiers. Alors elle les a tous éliminés de son alimentation. On lui a donné des probiotiques, un complément alimentaire liquide et des enzymes digestives. En trois semaines, elle n'est plus fatiguée, plus ballonnée, sa peau va mieux et elle a déjà perdu du poids.
Sensibilités et intolérances : votre alimentation y est pour quelque chose.
Saviez-vous qu'avec l'industrialisation de notre alimentation notre système immunitaire réagit de plus en plus à une liste de plus en plus longue d'aliments courants ? Savez vous que grâce aux métaux lourds que nous ingérons et respirons tous les jours, grâce aux vaccinations, aux médicaments, à la pilule contraceptive, aux additifs chimiques et autres conservateurs nous nous déséquilibrons suffisamment pour :
ne plus produire la bonne quantité d'enzymes digestives,
pour entretenir un niveau d'inflammation interne constant,
pour surcharger notre foie,
nos reins,
notre système lymphatique,
et finissons par devenir la proie de développements cellulaires anarchiques tels que la candidose chronique et le cancer ?
Aujourd'hui, les enfants en sont les premières victimes avec des manifestations démontrées incurables comme l'autisme, le déficit d'attention, les allergies, l'asthme.
Si vous n'identifiez pas quels sont les aliments, additifs, conservateurs, toxines etc... qui intoxiquent votre corps, vous n'avez aucune chance d'aller mieux, médicaments ou pas.
Mais je peux vous aider à trouver plus rapidement avec quelques informations telles que celle-ci :
Dans le top 20 des aliments déclenchant les plus fréquents il y a :
Le lait de vache,
La Gliadine de blé (un composant du gluten qui provoque une atrophie des villosités des premières et deuxièmes parties de l'intestin grêle, provoquant ainsi des troubles digestifs),
La Gliadine du Gluten (de blé, seigle et orge),
La levure de boulanger, de bière,
Les blancs d'œufs,
Les noix de cajou,
Les jaunes d'œufs,
L'ail,
Les graines de soja,
Les noix du brésil,
Les amandes,
Le maïs,
Les noisettes,
L'avoine,
Les lentilles,
Le kiwi,
Les Chillis,
18. Les graines de sésame,
19. Les graines de tournesol,
20. Les cacahuètes.
Aussi, ne vous laissez pas faire avec des tests cutanés : ils ne montreront que les allergies.
Aussi, il y a de grandes chances que vous réagissiez aux aliments qui vous donnent le plus envie, qui vous font saliver, comme du pain, du fromage, du chocolat ou du sucre (sous forme de bonbons, gâteaux, glaces...). Il est démontré aujourd'hui que le sucre et la gliadine du blé provoquent une addiction aussi puissante qu'un opiacé dans l'organisme.
Il ne suffit que de trois jours pour être "accro" au sucre, mais il faut une semaine pour s'en désaccoutumer. Pour le blé, c'est plus long.
On a identifié les signes d'intolérances et sensibilités les plus courants. Ils permettent de mettre la puce à l'oreille et de chercher dans la bonne direction (qui n'est pas l'allergie). Il s'agit de :
Congestion du nez, des sinus, gorge rouge, le plus souvent chronique (à répétition),
Problèmes gastro-intestinaux (gonflements, gaz, brulures d'estomac, reflux, ulcères, diarrhée, constipation, nausées ou vomissements,
Yeux larmoyants, visage enflé, cernes sous les yeux ou même une pliure sous les yeux,
Perspiration non expliquée (même la nuit),
Otites à répétition,
Vertiges mauvais équilibre,
Maux de tête, migraines, tensions du cou et des épaules,
Eczéma, irruptions, aphtes,
Gonflements des mains, pieds, visage,
Toux, éternuements, asthme,
Douleurs musculaires,
Difficultés cognitives incluant une mauvaise concentration, une mauvaise mémoire ou des idées brouillées,
Problèmes émotionnels incluant dépression, anxiété ou colère incontrôlable,
léthargie ou fatigue chronique,
Insomnie, sommeil de mauvaise qualité,
Excès de salivation,
Symptômes de comportements négatifs, incluant hyperactivité, colères, hyperactivité.
Voici un exemple parmi de nombreux autres de ce que la consommation d'un groupe d'aliments auquel on est sensible peut avoir comme impact sur le bien-être général.
Mais si vous vous reconnaissez dans cette liste, ne négligez pas la piste du compagnon classique des allergies, intolérances et sensibilités, le Candida albicans, qui réclame une approche particulière et radicale pour éliminer vos symptômes, qu'ils soient bien visibles ou complètement diffus, comme ceux des sensibilités alimentaires cérébrales, qui elles, entrainent souvent une forme de trouble du comportement, une névrose ou une psychose. Le contact avec certains additifs et autres produits chimiques accroit les sensibilités. Pour les additifs, il s'agit des
nitrates et nitrites (dans les saucisses, charcuterie),
sulfites (dans les vins, fruits et légumes non bios),
acide ascorbique (fromage, fruits secs),
colorants (surtout le 5),
parabènes (dans la bière, les pâtisseries et biscuits industriels, les sodas),
acide benzoïque (les jus de fruits, margarines),
glutamate (bouillon cube, cuisine chinoise, extraits de levure, protéines hydrolysées),
aspartame,
alginate (glaces, plats tout prêts congelés),
bromates (dans la boulangeries industrielle).
Dans la famille des produits chimiques qui nous entourent il y a : les gaz d'échappement les formaldéhydes (tout les textiles neufs, moquette, autos, peinture, vêtements, fumée de bois), le chlore (eau du robinet, piscine, bains bouillonnants, produits nettoyants)phénols (parfums, papier journal, colle, fumée de bois)éthanol (gaz d'échappement, parfum, produits d'entretien, fumée de bois)fluor (eau du robinet, dentifrice, traitements au fluor), alcool de benzyl (solvants, parfum, parfums artificiels), glycérine (maquillage, savon, cosmétiques, nettoyants pour meubles).
Nous sommes tous de plus en plus exposés aux sensibilités alimentaires.
Pourquoi ?
Je vous donne quelques explications ici.
Allergies, intolérances, sensibilités : des symptômes de tous les jours.
Aujourd'hui, avec le rhume commun, les symptômes de colon irritable font partie des complaintes les plus fréquentes qui amènent les gens à consulter leur médecin. Ils touchent une personne sur quatre. Une personne à qui on va donner un anti diarrhéique, ou peut-être un calmant, ou des probiotiques... mais rarement à qui on va faire un test d'intolérance pour identifier et éliminer l'aliment déclenchant à l'origine de ces symptômes.
Il y a trois maladies communes au colon irritable :
La maladie de Crohn, la colite ulcérative, la maladie céliaque.
Les symptômes communs aux trois sont :
Les douleurs articulaires, le manque d'appétit, la perte de poids et la fièvre.
Pour la maladie de Crohn et la colite ulcérative, aucun test de laboratoire ne permet d'identifier l'un ou l'autre, et le diagnostique est basé sur des radios et un examen physique.
Les traitements conventionnels seront basés sur de simples modifications du régime alimentaire, des anti-inflammatoires et parfois des antibiotiques.
La maladie cœliaque est deux fois plus commune.
Elle peut être identifiée par des examens poussés du type biopsie de la muqueuse intestinale. Le seul traitement efficace revient à complètement éliminer, à vie, le gluten. Ce qui signifie pas de blé, de seigle ou d'orge.
Une autre situation débilitante des intolérances et sensibilités est la manifestation la plus courante du colon irritable : la colite, ou colopathie fonctionnelle. Dès que l'on avale quelque chose, cela doit ressortir à l'autre extrémité. On vit avec des symptômes de coliques, des gonflements soudains, des douleurs récurrentes qui font vivre à la proximité d'une salle de bain. Nombreux sont ceux qui ont vécu les années d'attente et de souffrance, ponctuées de tests en tous genres, d'espoirs déçus, de confiance élimée envers la médecine, pour finalement découvrir qu'il suffisait d'un simple test sanguin... et de la liste des aliments interdits.
Aucun médicament ne soigne l'intestin irritable ou colopathie fonctionnelle.
La seule façon de ne plus en souffrir est de se supplémenter correctement pour le réparer et d'effacer de sa vie les aliments déclenchant. Mais surtout, il faut se détoxifier profondément, et réparer les tissus endommagés du système digestif. Ce peut être un travail de longue haleine qui réclame beaucoup de cohérence et la prise en compte de nombreux facteurs. Quand il n'y a pas de médicaments pour vous soulager, il ne vous reste plus qu'à choisir la solution la plus logique et efficace : traiter la cause de votre problème. C'est ce que je vous aide à faire dans l'Equilibre de l'immunité.
Les symptômes courants des intolérances et sensibilités alimentaires
Les problèmes digestifs sont les conséquences les plus courantes des intolérances alimentaires, mais il y en a bien d'autres. La rétention d'eau : si vous n'arrivez pas à vous débarrasser de vos problèmes de poids, il y a des chances que ce soit en partie du à une allergie alimentaire. Je dis "en partie" car il y a d'autres raisons pour souffrir de rétention d'eau :- la consommation de sucre,- une faiblesse rénale,- de l'excès de sodium- une déficience en acides gras essentiels.
L'arthrite et les douleurs articulaires: Dans les deux cas, l'accumulation des déchets métaboliques au niveau des articulations entraînent leur dégénération.
Cette dégénération fait augmenter la pollution en matière morte acidifiante qui déclenche un cercle vicieux de destruction cellulaire. Il est alors indispensable de faire cesser l'inflammation mais surtout de nettoyer l'organisme, les organes, de rétablir un équilibre général acido-basique.
Comment ?
J'ai ici un bon exemple :Une de mes clientes a évité l'opération qui devait lui rendre la mobilité de son épaule en six mois de réalcalinisations de son organisme, de séances de massages et d'ostéopathie. Elle veille à l'équilibre de son terrain pour maintenir sa mobilité et prévenir une éventuelle rechute et son secret anti-douleur, anti-inflammation, anti-acidité est le jus Tahitian Noni. Elle en a bu des litres pour ne pas toucher aux anti-inflammatoires.
Les intolérances alimentaires ne l'avaient pas épargnée : plus de blé, plus de sucre, moins de viande rouge, qui sont de plus acidifiants. Elle s'est supplémentée en oméga3 et s'est fait masser l'épaule pour optimiser la circulation sanguine au niveau de son articulation. Si elle l'a fait, vous pouvez le faire. Dans le même registre, beaucoup de problèmes de peau sont aussi provoqués par les intolérance alimentaires, un organisme trop yang et un excès d'acidité.
Voici une petite histoire pour illustrer : Sensibilité au lait, blé et chocolat.
J'ai une amie qui avait fait tous les tests des dermatologues pour se débarrasser d'une irritation permanente de sa peau du visage. Bien sur, personne ne lui avait jamais parlé d'intolérances alimentaires... Sa peau était rouge au moindre contact et épaisse, comme irritée en permanence. Elle a tout essayé, jusqu'au jour où nous avons dû traiter son fils pour un problème d'hyper activité à l'école. Elle a voulu l'aider en suivant le même régime que lui. A sa grande surprise, sa peau à elle a complètement changé, elle était redevenue normale! Le test a montré qu'elle ne devait pas manger de blé. Tout simplement.
Dans sa forme légère, il rend la peau rouge, irritée par des démangeaisons qui peuvent provoquer la forme sévère et faire craquer la peau jusqu'au saignement. La cortisone réduit la sévérité des symptômes mais la peau reste sensible et prête à s'inflammer, et surtout, l'organisme continue à s'acidifier, donc à entretenir le déséquilibre métabolique.
Chercher le facteur déclenchant et s'en débarrasser est la clé.
L'allergie alimentaire la plus connue comme étant à l'origine de l'eczéma, surtout chez les enfants, est l'allergie au lait. Les anticorps immunoglobulines G réagissant au lait ont été retrouvés fréquemment à la fois chez les adultes et chez les enfants atteints d'eczéma. Mais les œufs aussi sont en cause, comme pourraient l'être beaucoup d'autres aliments déclenchant. Manger sans œufs est possible ! Je l'ai fait trois mois pour réparer mon colon.
La majorité des médecins ignorent le lien qui existe entre cette infection et les allergies alimentaires. C'est sans doute pour cela que tant de monde en souffre. Souvent la solution est si simple, car ça ne coûte rien de supprimer un groupe d'aliments pendant une semaine pour voir...
Important : Si vous souffrez de sensibilités, intolérances et allergies alimentaires, il y a de grandes chances pour que vous soyez aussi l'hôte d'une candidose chronique. C'est la conséquence logique d'une inflammation permanente et silencieuse dans l'organisme.
L'Equilibre anti-Douleur vous explique comment ne pas laisser la candidose s'installer, mais surtout, comment adopter dans votre vie les habitudes qui vous protégeront définitivement.